mardi 9 février 2010

09, fev, 10

22:41

Je ne savais pas trop quoi écrire aujourd'hui. Je suis encore dans un état de misanthropie qui se rapproche maintenant d'un état de catharsis. Par contre c'est officiel, mon professeur de français va jeter un regard sur mon blog. Est-ce que cela va changer mon opinion sur le cours? Je ne sais pas.
Il est sur que je vais continuer de détester Patrick Senecal pour les raisons dites il y a quelques jours. Que mon aversion pour certains textes vraiment ennuyants que je dois lire sera perpétuelle et que mon ennuie profond pour certaines périodes du cours seront toujours retranscrites. Par contre, je redoublerai d'efforts pour les fautes d'orthographes. Je vais tenter de préserver mes idées et mon style d'écriture.

Ce qui me fait aborder la deuxième raison pourquoi finalement j'écris aujourd'hui. J'ai reçu un message disant que l'un de mes texte («Guest Who») a été retenue pour la revue Chimère;une revue littéraire du Cégep de sherbrooke. Cependant, il a été retenue «conditionnellement à un certain retravail à faire.» Je ne sais pas si les modifications à faire sont assez importante pour que je refuse de les effectuer. Je pourrais leurs dire de lire les merveilleuses pages 222 à 224 de son recueil Vacuum ainsi que la citation de Cyrano de Bergerac qu' il retranscrit aux pages 225-226-227. En résumé, pour ceux qui sont trop lâche pour louer le livre ou l'acheter ou l'emprunter, Christian Mistral ce fait demander si un retravail sur ses poèmes le dérangerait avant leurs publications. Il dit qu'il n'est peut-être pas un professionnel de la poésie et qu'il ne veut pas le devenir. Il veut que la poésie retrouve le sens du coeur, que ses poèmes soient «publiés tels quels, pleins de verrues et tout, comme une partie intégrante de (son) œuvre.»
Il ne veut pas publié au prix de sa personnalité. Je vous invite à lire ses métaphores et envolées lyriques délirantes. Je ne citerai qu'un passage de mémoire pour finir, qui deviens ma réponse aussi. Je préfère passer mon temps à écrire de nombreux poèmes qui me tiennent à cœur plutôt que de perdre mon temps à réécrire plusieurs fois le même pour qu'au final, il ne me représente plus.

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