mardi 2 février 2010

02, fev, 10

06:42
Le soleil ce lève sur mon pénitencier. Ce soir je saurai si ma sentence est affranchit. Ce soir, je saurai si je quitte c'est mur gris et ternes. Si je quitte cet endroit briment ma créativité. Cet endroit d'où rien n'est sortit de bon. Là où la nourriture est indigeste et que les gardiens sont homophobes et sexistes, comme on ne l'est plus depuis longtemps.

Ce soir, mon cas est en appel et le juge n'est nul autre que mon père. Jamais je n'aurais penser remettre mon dossier à son jugement, mais les temps sont à critique ferme familial tout en restant dans le respect des droits de la personne. Ce que mon père à appris tout récemment, mais devra tout de suite le mettre en pratique. N'est-il pas facile de critiquer les comportement d'un artiste, qui n'est point hors la loi.

Je sens ma dernière marche arriver.
Mon dernier souper de condamner; que je ne choisirai pas.
Je sens la liberté effleurer les pores de ma peau.

Je devrai bien sûr gouter ma liberter sous certaines conditions post-carcérales. Or, elle me semble douce après c'est 6 ans de transfert.

Oui, je vous le dis, ce soir je sors et retourne dans le monde.

J'ai trouvé le surnom de mon beau père : Le Geôlier.

21:52
Bonne nouvelle, la sentence est tombée je suis libre. Je suis complètement fatigué par ma journée. Je me couche de bonne heure aujourd'hui.
p.s: Pour répondre à Fraisinette, ma cousine, oui c'est chez mon père que je vais habiter. Je m'amuse vraiment avec les surnoms..

2 commentaires:

  1. J'espère que tu vas pouvoir partir, je sais comment ce n'est pas facile pour toi. Je t'aime !
    MJ

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  2. enfin, je me decide a laissé un commentaire...

    partir en appartement ? ou partir chez ton père ?

    et ton beau-père, continue-t-il ses commentaires désobligeant ?

    est-ce pour cette raison que tu souhaites partir (enfin) ?

    RS

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