lundi 1 février 2010

01, fev, 10

00:44
Ça fait déjà plusieurs articles que j'écris sur ce blog et je suis tout de même fier du résultat jusqu'à maintenant. Je suis par contre désolé pour le ton gris qu'à pris mon blog dans les derniers jours. Or, vous lisez ma vie. Vous n'avez pas le choix; ou plutôt si vous pouvez fermer votre page internet, je conseille firefox, et allumer la télévision pour écouter la série Québec-Montréal, vous faire un sandwich au beurre d'arachides, lire un livre ou même copuler avec vôtre tendre moitié. Mon blog est une liberté que vous avez le choix de lire ou non.
Note: penser à insérer ce texte dans une composition de mon cours de Droits et liberté.

01:40
Je l'ai tué, il est mort. Ça semble logique que vu que je l'ai tué qu'il soit mort, mais en fait pas tant que ça.


Même si je l'ai tué, il continue à vivre pour d'autres personnes. Cette vérité est un regret que j'ai de la misère à supporter. J'aimerais l'avoir escofié pour tout le monde. Je ne sais pas si l'avoir immolé me remplit vraiment de joie. Peut-être que la joie ce tarit quand l'on pense que l'ouvrage aimait recevoir mes coups de glaive. Du moins si je ne me trompe pas sur les intentions de la fin si navrante; qu'à mon point de vue de bourreau je trouve médiocre et d'une fadaise insoutenable.

Je dois avouer que sans peine mon esprit associe le mots lapalissade au verbe lapider.

Je devais meurtrir cette lecture!
Cette affabulation complètement fugace.
Cette fumisterie fumante comme un feu de paille.
Ce tas de page que j'ai acheté au rabais.

Je devais l'immoler sans remords.

Je vous dirai, vous toutes personnes que vous êtes, que ce bouquin est nuisible pour votre temps(érament). Étant loin d'être un opuscule il prends plus de temps qu'il devrait dans la vie d"un lecteur; le faisant veiller jusqu'au crépuscule pour le terminer. J'entends d'ici les anagnostes ce plaignants de ne savoir où mettre les intonations dans cette rédaction intempestive. Non, récité cette écriture ne donne pas un tempérament festif.
C'est pages ne sont pas un repas gargantuesque de mots linguistiquement recherché. Je calligraphiait plutôt cette calligraphie de repas à pourcentages léger. Une matière grasse saturé pour nous tenir tout le temps dans une trame... ténu de tonus.

Comme il m'est doux de décrire cette écriture qui ma tué, fatigué, ennuyer, mortifier, ma rendu comme l'un des cadavres de cette affabulation. M'affubler de l'obligation de relire cet auteur est d'une torture d'une équité inéquitable, qui ne fait que m'étiqueter d'une normal, d'une normalité . Je suis l'un des nombreux numéros de restauration rapide qui auront été (as)servient par la culture balnéaire.

Je ne prendrai pas le même le air content que tous, que tout les autres. Moi je ne suis pas content, je suis contrit. J'en es raz le bol, je veux prendre mes propres bol d'air... Du moins qu'on emplisse mes aires d'allez avec de la bonne, de la vrai, de la gouteuse littérature. Celle qu'on rature, qu'on rattrape,qu'on trappe, qu'on convie en trappeur à chasser nos peurs. Quelles peurs? Quelles peurs!!!

Quelle pleurs?

Les larmes contre lesquels ils prennent inutilement les armes. Armes aiguisé
aux aiguisoirs d'émissions dérisoires qu'ils écoutent jusqu'à tard le soir.
Ses fiers défendeurs d'écran catalyseurs devraient canaliser leurs penser sur une prose
déjà prouvé. au lieu de s'ébrécher sur une littérature linguistiquement inappropriée.


En tous les cas, moi, je refuse. Ce n'est pas cette diffuse écriture facilement diffusée sur DVD que j'aimerai.
Il ne me restait donc qu'à la tuer. Ce que je crois m'être bien acquitté.

Fini D'être écrit à 03:01

14:50 (heure de station de bus)
Le vent me mord de sa mâchoire de glace. Je frémis sous le frima frigorifiant.
Quand tu as dormi 4h il est normal que tu sois sensible au froid et que tu somnoles dans un cours théorique sur la liberté selon Jean-Paul Sartre.


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