20, oct, 10

09:02
Aujourd'hui, j'ai développé une haine comme depuis longtemps je n'en avais pas ressenti. Encore plus ancestral, une haine envers un professeur. Un professeur de surcroit. Non pas un enseignant, d'une matière que je déteste ou éprouve un complet désintérêt. Une matière où je me complet depuis plusieurs années et où j'ai le plaisir d'apprendre. Je ne crois pas que ce soit une mauvaise enseignante, mais elle ne si prend pas comme il faut avec des élèves qui n'ont pas d'intérêt à la base pour la littérature. Je vais toujours me souvenir de la première phrase qu'elle a dit dans son cours: « Je sais que vous n'aimez pas ça, mais forcez-vous .» Sans venter les biens fait du français et tout. Mais encore plus que son incompétence à venir intéresser ses étudiants, je réprimande sa condescendance. Il y a quelques jours, n'étant pas sur de certaines modalités du travail et m'apercevant qu'elle ne m'est aucune document à disposition de ses étudiants dans le partage élève-enseignant du cégep, je lui est écrit un message. Elle ne m,a répondu que ce matin dix minutes avant le cours, m'empêchant ainsi de le voir, malgré que je regarde mes messages très tôt le matin et tard le soir. Voici ma missive et sa réponse: 19-oct-2010 à 14:45 : Bonjour, j'aimerais clarifier quelques informations au sujet du travail sur notre poème. Demain, il y a un cours? Est-ce là qu'il faut remettre le travail? Faut-il une introduction et un conclusion pour le travail? Combien de mots minimums? Quand présentons nous? Dans quel ordre? J'aimerais que vous m'éclairiez un peu svp. merci   20-oct-2010 à 08:19 : Ce sont toutes des choses que j'ai dites. Dommage que tu n'écoutes pas plus. Ceci dit, aujourd'hui et lundi prochain, ce sont des pratiques de poème,sur rendez-vous. La dissertation est aussi à remettre aujourd'hui et cest sûr que ça prend une introduction et une conclusion!
La première chose qu'elle me dit quand je rentre dans le cours est: toi il serait temps que tu te réveils.  Moi qui me faisait violence pour ne manquer aucun cours malgré sa pédagogie inexistante. Je crois retourner à certaines de mes anciennes éthique de penser. Quand un professeur ne vaut pas la peine que je mette de l'effort et de l'intérêt, je n'en donne pas. Je ferai ses travaux, mais tenter de m'en informer plutôt que de participer directement au cours. Cependant, cette façon de faire me renvoi trop à un étudiant anarchiste et exigent que je ne voulais plus être. Je verrai ma façon de faire, mais il est clair que je ne laisserai pas passer ses lacunes scolaires.