dimanche 10 octobre 2010

10, oct. 10

18:21
Le ton du texte: je suis seul chez moi sans rien de distinct à manger, alors qu'une promesse d'un souper en amoureux avait été faite. J'ai aussi dans la tête les échos lointain des «on peut l'adopter?» des parents de LB prononcés lors de ma dernière visite chez-eux. 

Je suis de retour de chez les parents à Luna. C'était bien, mais sans plus. Ils semblent bien m'aimer, ce qui pour moi est tout de même nouveau, mais à en croire mes amis, ou même ma sœur, il est normal qu'un belle-famille aime bien. Mais si je fais un comparatif avec les familles qui m'ont ultérieurement (elles se comptent par deux). La famille de Luna ne m'aime pas plus que les autres. Ils n'ont pas porté un intérêt particulier à m personne, à mes gouts, ni même à la relation que j'ai avec leur fille. Sans aucuns problèmes. je suis arriver là et pu jouer au scrabble, lire, écouter la télé et boire une bouteille de vin avec Luna avant d'aller me coucher avec elle dans son lit. Aucune problème, aucun remous, des gens de plus que je connais, dans tous ceux que je connaissais déjà. La sœur de Luna est particulièrement belle et particulièrement de mon genre, je ne semblais pas non plus lui déplaire. Elle doit avoir selon mes calculs rapide quatre ans de moins que moi.   Le plus claire des conversations de Luna avec ses parents traitaient de son futur voyage en Australie, de son prochain départ avec ses amis. Ce soir, au lieu de faire comme à tout les dimanche depuis deux semaines, notre petite soirée tranquille d'amoureux seul chez moi, devant la télévision. Luna va, si j'ai bien compris, voir des amis à elle. J'ai moi aussi des amis à allez voir, des amis que nous avons en commun qui parte dans deux jours pour deux ans ou peut-être plus. Mais Luna elle, va à une autre fête que celle-ci après avoir vu ses amis. Une fête organisée pour souligner le retour, pour les deux jours qui viennent, d'un ami de Montréal. Elle y va aussi pour rencontrer des gens qu'elle ne connait pas, mais d'on elle entend souvent parler. Je suppose donc, qu'elle va bien s'amuser, faire une entorse à sa promesse, faite à elle-même, de ne plus fumer, de faire ses devoirs, de ne pas toujours se coucher tard.  Je n'ai rien contre ses promesses, je pensais juste que les soirées que quotidiennement j'annule pour nos dimanche soirs, jamais je n'aurais à les regretter. Une chance, ses annulations, mes amis eux les regrettes et m'en font part le jour même.

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