mardi 10 août 2010

10, aout, 10

03:28
Je n'oublie pas ce blog, une autre nouvelle est en route. Je n'ai rien d'autres d'intéressent à écrire


Josh


Deux hommes sont assis face à face dans un bureau. Une différence de 20 ans les sépare.

C'est la première fois depuis vingt-cinq ans, que je n'ai pas eu des nouvelles d'elle. La dernière fois que je lui es parlé elle m'avait dit d'entré de jeu: «Après cette conversation, tu sors de ma vie.»
À l'époque, ça m'avait paru impossible. Je croyais la croiser dans la rue, avoir des informations d'elle du moins, en entendre parler vaguement. Mais il faut croire qu'elle avait raison, plus jamais je n'ai entendu parler d'elle depuis aujourd'hui. Je ne sais pas comment elle si est prise, mais j'aurais aimer le savoir.

Avec les années, j'ai oublié beaucoup de choses de mon adolescence.  Des numéros de téléphone, des adresses, des dates, des évènement, des vieux amis, mais elle jamais. Je me suis toujours rappelé d'elle. J'aurai aimer la sortir de ma mémoire, j'y es beaucoup d'efforts, mais je crois que ça créait l'inverse. Plus je la repoussais, plus elle rester encrée dans mon esprit.

Je me souvenais de son odeur, de ses yeux, de la couleur exacte de sa peau, du moindre de ses cheveux. Je peux encore aujourd'hui, vous la décrire aussi distinctement que si je l'aurais vu ce matin.

Je ne l'ai pas aimer plus qu'une autre, ni moins d'ailleurs, je l'ai aimé avec autant d'ardeur et de dévouement que toutes celles qui ont côtoyées ma vie. Seulement...elle m'a été la plus marquante.
Je ne sais pas si c'est en lien avec le fait que, jamais plus je n'en es entendu parler.
Je suis resté sur mon vieil amour, comme si cette fille n'aurait jamais changée. Qu'elle n'est jamais devenu quelqu'un qui aurait pu me déplaire après quelques années.

Nous n'étions déjà plus ensemble la dernière fois que je l'ai vu.  Quand cette conversation eu lieu, je la voyais pour la première depuis plusieurs mois. J'avais plus changé qu'elle se qui ne l'empêcha pas de me reconnaitre à l'instant où elle entra dans la salle. La bière à ma main du l'aidée quelque peu.

Elle était belle, elle me sembla un peu nerveuse et inquiète, mais cela ne se voyait que dans ses yeux. Le reste de son corps respirait la confiance en elle.  J'aurais aimé lui en voler un peu. Elle ne le savait pas, mais s'était la deuxième bière que je prenais dans mes mains pour trouver quoi lui dire.

Les mots mon toujours été fidèles, c'est d'ailleurs comme ça que je l'ai connu, mais cette fois j'ai eu l'impression qu'il n'était pas dans mon camp. Je m'exprimais mal, n'arrivais pas à me faire comprendre. Elle sobre, y arrivait beaucoup mieux que moi. M'intimant à garder un silence gênant, quand je n'arborait pas un sourire niait. Cette conversation ne dura qu'une heure, mais jamais je n'ai autant perdu la perception du temps qu'à ce moment là. Dans cette petite micro-brasserie sombre faite d'un style vieillot. Elle s'était emparé de ce  qui auparavant m'avait paru si familier.

Depuis cette conversation, je n'y suis jamais retourné. Je n'ai jamais dit à mes amis la raison de cette désertion, ce qui ma valu de manquer de nombreuses chaleureuses soirées en leur compagnie. Et avec la temps la perte de certains amis pourtant très proche; cruels quand il vient le choix d'un alcool.

Cet endroit était rendu trop chargé de... moi.
Cette femme qui m'avait temps aimer a débité tant de facette de ma personnalité qu'il m'a semblé qu'à jamais les murs et le parquet en était imprégnés.
J'ai déjà dis que je me souvenais des moindres détails de cette personne que j'ai aimée, il c'est avérer que le moindre regard sur un objet qui a été en contact de près ou de loin avec elle. Me la ramenait en mémoire avec une douleur aussi vive et cruelle, qu'on aurait dit que je m'étais brulé l'intérieur du crâne.

Ce qui me fit éviter plusieurs endroits où avant, je me plaisais. Je perdis peu à peu les derniers amis qui me restaient.

Ma vie sans elle changea du tout au tout. 

Bien sur, je garda certaines occupations; celles quelles avaient toujours détestées. Mes études, elle les trouvait glauques et déprimantes. Je m'y suis jeté corps et âme. Moi qui n'a jamais été très assidu à l'école je devin rapidement le meilleurs du département. Promis à un grand avenir, je m'en tin tout de même à ma première idée. C'est pourquoi que j'ai choisi votre laboratoire et que j'y travail assidument depuis maintenant 10 ans .

Mais aujourd'hui, je ne peux pas faire mon travail. Vous comprendrez qu'après tout ce que je viens de vous dire, je ne pourrai être son coronaire.

3 commentaires:

  1. wow !
    tres.... interessant (?) comme fin ! :)

    besou
    «fraizinette»

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  2. Belle approche... j'aime beaucoup la fin où tu boucle le tout très efficacement.

    Et pour une version sans faute d'orthographe, j'imagine qu'il nous faut la relire dans quelques jours? ;)

    A bientôt

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  3. Fin punchée, c'est bien ficelé. Moins glauque aussi que le premier, j'aime davantage. :)

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