01:29
La première réunion de mon comité est arrivée plus vite que prévu. Elle est à 11h30 aujourd'hui, il me manque certaines informations, mais je devrais bien m'en tirer.
07:00
Plus aucune nouvelle de LB alors que encore une fois je devais recevoir une information pour mon comité. Je n'ai des nouvelles que pendant 2h à tous les quatre jours, un peu plus que si elle serait morte. Je me demande si elle me considère encore comme son copain. Ça serait surprenant vu l'importance qu'elle me donne. En attendant d'autres filles la remplace pour me donner de l'importance. J'ai jamais eu trop de misère à développer un intérêt chez l'autre sexe; une chance si non j'y penserais.
mardi 31 août 2010
dimanche 29 août 2010
29, aout, 10
04:23
J'ai dix neuf ans aujourd'hui. Je vais surement passer ma journée à faire des devoirs bien calmement. Je vais aussi me lever très tard, le stress de la dernière représentation est tombé. C'était la meilleurs, vraiment trippant, je me suis amusé avec le public. Ma sœur, Fraizinette et le Musicien étaient présent. La première personne à m'avoir duit bonne fête à été MJ par texto, je ne reviens toujours pas de l'implication de cette fille dans ma vie. Bonne nuit, j'écrirai sur mes lectures et autres demain.
J'ai dix neuf ans aujourd'hui. Je vais surement passer ma journée à faire des devoirs bien calmement. Je vais aussi me lever très tard, le stress de la dernière représentation est tombé. C'était la meilleurs, vraiment trippant, je me suis amusé avec le public. Ma sœur, Fraizinette et le Musicien étaient présent. La première personne à m'avoir duit bonne fête à été MJ par texto, je ne reviens toujours pas de l'implication de cette fille dans ma vie. Bonne nuit, j'écrirai sur mes lectures et autres demain.
samedi 28 août 2010
28, aout, 10
10:16
Quand j'ai une mauvaise journée le lendemain est toujours bien meilleurs au gouts et c'était toute une journée gouteuse. La veille j'avais parlé à MJ pendant un bon 2h à défaut de réussir à rejoindre mon meilleur ami. Nous avions établie que nous, nous verrions le lendemain si son cours de secourisme était crédité. Il l'a été, ça m'a vraiment fait du bien de la revoir si fraiche, si souriante, si belle; alors que moi j'étais si scrap, mais heureux de la voir. Nous, nous sommes quittés qu'au moment où je devais allez à mon cours, usant de de subtilité pour ne pas qu'on nous voit ensemble.
En me rendant à mon cours, j'ai entendu l'un de mes chansons préféré jouée par le groupe d'animation musical de ce midi là; Hit the road Jack. Requinqué, j'ai parlé et répondu aux questions du professeur avec enthousiasme et brio, les autres élèves ont été surpris de m'entendre parler dans le cours pour une fois. J'ai parlé aussi un peu du REALIS durant la pause. J'ai passé l'après midi avec mon meilleur ami. En fait, je l'ai vu dans une petite librairie où j'allais pour acheter mes livres moins cher qu'au cégep, n'ayant pas le temps de retourner chez moi avant le soir. Nous avons gossé, joué de la musique, dit des poèmes. Après nous sommes rentré au cégep. Il avait une rencontre d'équipe pour un court métrage, je suis allez avec lui. J'ai donné des idées et commenté un peu. Son équipe a dit que j'ai été très utile par mes commentaires et mon expérience. Je suis allez à mon avant dernière représentation de théâtre, la meilleurs performance d'après mon metteur en scène. LB ne sait jamais pointée pour m'accompagner chez ma mère pour mon anniversaire. Je suis donc sortit avec les acteurs et irai le lendemain chez ma mère. Nous avons rit, niaisé, crié dans la rue. Je me sentais vivant.
J'ai croisé le musicien et une futur membre du REALIS. Quand je suis rentré chez moi un message de MJ m'attendait pour me dire comme j'avais illuminé sa journée à elle aussi.
Ce soir, dernière représentation.
Quand j'ai une mauvaise journée le lendemain est toujours bien meilleurs au gouts et c'était toute une journée gouteuse. La veille j'avais parlé à MJ pendant un bon 2h à défaut de réussir à rejoindre mon meilleur ami. Nous avions établie que nous, nous verrions le lendemain si son cours de secourisme était crédité. Il l'a été, ça m'a vraiment fait du bien de la revoir si fraiche, si souriante, si belle; alors que moi j'étais si scrap, mais heureux de la voir. Nous, nous sommes quittés qu'au moment où je devais allez à mon cours, usant de de subtilité pour ne pas qu'on nous voit ensemble.
En me rendant à mon cours, j'ai entendu l'un de mes chansons préféré jouée par le groupe d'animation musical de ce midi là; Hit the road Jack. Requinqué, j'ai parlé et répondu aux questions du professeur avec enthousiasme et brio, les autres élèves ont été surpris de m'entendre parler dans le cours pour une fois. J'ai parlé aussi un peu du REALIS durant la pause. J'ai passé l'après midi avec mon meilleur ami. En fait, je l'ai vu dans une petite librairie où j'allais pour acheter mes livres moins cher qu'au cégep, n'ayant pas le temps de retourner chez moi avant le soir. Nous avons gossé, joué de la musique, dit des poèmes. Après nous sommes rentré au cégep. Il avait une rencontre d'équipe pour un court métrage, je suis allez avec lui. J'ai donné des idées et commenté un peu. Son équipe a dit que j'ai été très utile par mes commentaires et mon expérience. Je suis allez à mon avant dernière représentation de théâtre, la meilleurs performance d'après mon metteur en scène. LB ne sait jamais pointée pour m'accompagner chez ma mère pour mon anniversaire. Je suis donc sortit avec les acteurs et irai le lendemain chez ma mère. Nous avons rit, niaisé, crié dans la rue. Je me sentais vivant.
J'ai croisé le musicien et une futur membre du REALIS. Quand je suis rentré chez moi un message de MJ m'attendait pour me dire comme j'avais illuminé sa journée à elle aussi.
Ce soir, dernière représentation.
jeudi 26 août 2010
26, aout, 10
18:11
Alors que j'écris c'est quelques mots j'ai le cœur gros. Cette semaine, j'ai lus trois livres et commencé un texte de 300 mots sur moi. Il me reste encore deux livres à terminer et à comprendre très clairement pour mes prochains cours. Je n'avais pas à les lires et à les décortiquer aussi rapidement, mais je voulais prendre un peu d'avance dans mon planning. J'ai aussi fait avancer très rapidement le groupe du REALIS au cégep, toujours dans l'optique de gagner du temps. Pourquoi je voulais gagner du temps? C'est ma fête en fin de semaine. Je ne l'ai jamais fêté depuis longtemps. Plus depuis que les gens à qui je tenais le plus ne s'étaient jamais présentés il y a de cela 8 ans. Bien sur depuis j'ai eu un party d'anniversaire, un seul. Une fille avec qui je suis sortie avait invité ses amies, que nous avions un peu en commun. Cette année, l'idée de célébrer mon anniversaire ma titiller. Après tant de nouveaux dépars pour ma vie je me suis dit pourquoi pas. Ma famille et ma copine entre deux représentations de théâtre ça va me faire du bien après cette grosse semaine pleine de devoirs et de stress.
Erreur monumentale, il y a quelques minutes je viens de recevoir un message de la fille que j'aime me disant qu'en plus de ne pas venir me voir à ma pièce, elle ne tient pas à venir dans ma famille pour ma fête. Cette nouvelle me démolie. Déjà, il y a quelques jours avant de repartir pour Montréal elle me disait que depuis le début du mois elle n'était plus sur de m'aimer. J'ai vraiment le sentiment de souffrir, de pardonner, de souffrir, de pardonner pour juste avoir envie de disparaitre. Encore là, j'ai envie de la rappeler pour lui dire que je l'aime énormément et que je veux qu'elle soit dans ma vie.*
J'ai vraiment mal, mon meilleur ami ne répond pas au téléphone. Si il ne donne pas de signe de vie, je vais peut-être appeler MJ. La seul qui arrive à me faire sourire. Les pièces dramatiques que je dois lire en classes se transposent sur ma
vie.
* cette phrase est rajoutée à la relecture 20 minutes plus tard.
Alors que j'écris c'est quelques mots j'ai le cœur gros. Cette semaine, j'ai lus trois livres et commencé un texte de 300 mots sur moi. Il me reste encore deux livres à terminer et à comprendre très clairement pour mes prochains cours. Je n'avais pas à les lires et à les décortiquer aussi rapidement, mais je voulais prendre un peu d'avance dans mon planning. J'ai aussi fait avancer très rapidement le groupe du REALIS au cégep, toujours dans l'optique de gagner du temps. Pourquoi je voulais gagner du temps? C'est ma fête en fin de semaine. Je ne l'ai jamais fêté depuis longtemps. Plus depuis que les gens à qui je tenais le plus ne s'étaient jamais présentés il y a de cela 8 ans. Bien sur depuis j'ai eu un party d'anniversaire, un seul. Une fille avec qui je suis sortie avait invité ses amies, que nous avions un peu en commun. Cette année, l'idée de célébrer mon anniversaire ma titiller. Après tant de nouveaux dépars pour ma vie je me suis dit pourquoi pas. Ma famille et ma copine entre deux représentations de théâtre ça va me faire du bien après cette grosse semaine pleine de devoirs et de stress.
Erreur monumentale, il y a quelques minutes je viens de recevoir un message de la fille que j'aime me disant qu'en plus de ne pas venir me voir à ma pièce, elle ne tient pas à venir dans ma famille pour ma fête. Cette nouvelle me démolie. Déjà, il y a quelques jours avant de repartir pour Montréal elle me disait que depuis le début du mois elle n'était plus sur de m'aimer. J'ai vraiment le sentiment de souffrir, de pardonner, de souffrir, de pardonner pour juste avoir envie de disparaitre. Encore là, j'ai envie de la rappeler pour lui dire que je l'aime énormément et que je veux qu'elle soit dans ma vie.*
J'ai vraiment mal, mon meilleur ami ne répond pas au téléphone. Si il ne donne pas de signe de vie, je vais peut-être appeler MJ. La seul qui arrive à me faire sourire. Les pièces dramatiques que je dois lire en classes se transposent sur ma
vie.
* cette phrase est rajoutée à la relecture 20 minutes plus tard.
mercredi 25 août 2010
25, aout, 10
00:18
Une autre journée de faite et je viens de finir un livre que j'avais à lire. Cette année je vais faire mes devoirs à l'avance pour ravoir les notes que j'avais d'antan.
J'ai vraiment eu une mauvaise journée, surtout un après-midi catastrophique... Rien ne c'est passé comme je l'aurais voulu. Presque rupture avec LB, départ prématuré pour Montréal. Je me retrouver seul avec mes idées pour le derniers après midi de couple disponible. Je tente de communiquer avec des amis pour au moins ne pas gâcher complètement mon après midi et d'aller voir le super spectacle au quel j'ai été invité, sans succès. Au moins, le Realis va incroyablement bien. Mes devoirs sont long, mais passionnants. Je viens de finir Un simple soldat de Marcel Dubé et à ma grande surprise et ce que j'avais entendu, j'ai adoré. Dans le livre je retrouvais la grande part de solitude qui était aussi présente dans le le livre que je viens de terminé; cherche le vent. Cette solitude qui malheureusement est présente dans ma vie, mais qui du moins je commence à vivre avec elle. Il faut dire qu'étant au cégep je me sens mieux. Surtout dans mon domaine. Mauvaise journée aujourd'hui, superbe journée demain. Je dois écrire un texte sur moi... Je déteste ça, mais je dois parler de ma culture et au combien mes amis savent que je prend un malin plaisir à la fructifier.
Une autre journée de faite et je viens de finir un livre que j'avais à lire. Cette année je vais faire mes devoirs à l'avance pour ravoir les notes que j'avais d'antan.
J'ai vraiment eu une mauvaise journée, surtout un après-midi catastrophique... Rien ne c'est passé comme je l'aurais voulu. Presque rupture avec LB, départ prématuré pour Montréal. Je me retrouver seul avec mes idées pour le derniers après midi de couple disponible. Je tente de communiquer avec des amis pour au moins ne pas gâcher complètement mon après midi et d'aller voir le super spectacle au quel j'ai été invité, sans succès. Au moins, le Realis va incroyablement bien. Mes devoirs sont long, mais passionnants. Je viens de finir Un simple soldat de Marcel Dubé et à ma grande surprise et ce que j'avais entendu, j'ai adoré. Dans le livre je retrouvais la grande part de solitude qui était aussi présente dans le le livre que je viens de terminé; cherche le vent. Cette solitude qui malheureusement est présente dans ma vie, mais qui du moins je commence à vivre avec elle. Il faut dire qu'étant au cégep je me sens mieux. Surtout dans mon domaine. Mauvaise journée aujourd'hui, superbe journée demain. Je dois écrire un texte sur moi... Je déteste ça, mais je dois parler de ma culture et au combien mes amis savent que je prend un malin plaisir à la fructifier.
mardi 24 août 2010
24, aout, 10
06:28
Grosse journée qui s'annonce je suis levé depuis une heure. J'en reparle.
8:30 un cours d'exploration du domaine de la littérature, et je vais m'informer à l'association étudiante pour mon comité et les informations d'éclairage de ma pièce, 11h un manifestation pour la paix devant l'hôtel de ville en après midi je vois ma copine et en soirée un spectacle privé des Beta lovers. Je vais faire de nouvelle publication sur ce blog. Musique du moment. Je le faisais déjà sur mon autre blog, mais peut de gens m'en reparlaient.
Grosse journée qui s'annonce je suis levé depuis une heure. J'en reparle.
8:30 un cours d'exploration du domaine de la littérature, et je vais m'informer à l'association étudiante pour mon comité et les informations d'éclairage de ma pièce, 11h un manifestation pour la paix devant l'hôtel de ville en après midi je vois ma copine et en soirée un spectacle privé des Beta lovers. Je vais faire de nouvelle publication sur ce blog. Musique du moment. Je le faisais déjà sur mon autre blog, mais peut de gens m'en reparlaient.
lundi 23 août 2010
23, aout, 10
08:20
Ce matin c'est la rentré au cégep. Vous allez rapidement voir que j'ai des cours très tôt le matin. Aujourd'hui, ce n'est pas le cas, mais je vais rejoindre l'Actrice que ça fait presque un an que je n'ai pas vu. Je vais aussi acheter quelques livres pour mes cours.
15:55
Le retour au cégep veut aussi dire le retour d'une écriture plus fournit et plus stricte dans le temps. Suivre un horaire m'aide beaucoup pour cela.
Le cégep équivaut pour moi au retour d'une talé de de belles filles autour de moi, de cours plus ou moins intéressants, de projets prenant tout mon temps et de dépense dans la littérature.
Je suis arrivé tôt pour voir une amie que ça faisait presque un an que je n'avait pas vu. Comme elle avait un cours quand je suis arrivé à l'école, j'ai du attendre un peu. J'ai croisé au moins 7 fois la soeur à MJ pendant ce temps là. Encore en ce moment, elle est proche de moi. J'ai vu aussi MJ quelques fois. À chaque fois, ça me faisait un petit bon au cœur. J'espère que ça va me passer, car je risque de la croisé très souvent.
Mis à part ça mon premier cours était très long. La professeur a dit tous les règlements et le plan de cours d'une voix monotone. (à suivre je dois allez à mon cours.)
21:22
J'ai trois livres à lire pour la semaine prochaine. Le simple soldat de Marcel Dubé, La grève du sexe d'Artistophane et Antigone de Sophocle. Sans parler de tous les autres livres que j'aurai à lire. Mais pour le moment j'adore mes cours.
Ce matin c'est la rentré au cégep. Vous allez rapidement voir que j'ai des cours très tôt le matin. Aujourd'hui, ce n'est pas le cas, mais je vais rejoindre l'Actrice que ça fait presque un an que je n'ai pas vu. Je vais aussi acheter quelques livres pour mes cours.
15:55
Le retour au cégep veut aussi dire le retour d'une écriture plus fournit et plus stricte dans le temps. Suivre un horaire m'aide beaucoup pour cela.
Le cégep équivaut pour moi au retour d'une talé de de belles filles autour de moi, de cours plus ou moins intéressants, de projets prenant tout mon temps et de dépense dans la littérature.
Je suis arrivé tôt pour voir une amie que ça faisait presque un an que je n'avait pas vu. Comme elle avait un cours quand je suis arrivé à l'école, j'ai du attendre un peu. J'ai croisé au moins 7 fois la soeur à MJ pendant ce temps là. Encore en ce moment, elle est proche de moi. J'ai vu aussi MJ quelques fois. À chaque fois, ça me faisait un petit bon au cœur. J'espère que ça va me passer, car je risque de la croisé très souvent.
Mis à part ça mon premier cours était très long. La professeur a dit tous les règlements et le plan de cours d'une voix monotone. (à suivre je dois allez à mon cours.)
21:22
J'ai trois livres à lire pour la semaine prochaine. Le simple soldat de Marcel Dubé, La grève du sexe d'Artistophane et Antigone de Sophocle. Sans parler de tous les autres livres que j'aurai à lire. Mais pour le moment j'adore mes cours.
samedi 21 août 2010
20, aout, 10
17:18
Vu que je n'écris plus beaucoup et je suis rendu à mes représentation de théâtre, je n'ai plus de textes à apprendre. Pour garder mon cerveau allumé, j'apprends les poèmes d'écrivains que j'ai toujours respecté.
Je commence par Baudelaire, après Mistral, Verlaine, Kerouac et nous verrons.
Vu que je n'écris plus beaucoup et je suis rendu à mes représentation de théâtre, je n'ai plus de textes à apprendre. Pour garder mon cerveau allumé, j'apprends les poèmes d'écrivains que j'ai toujours respecté.
Je commence par Baudelaire, après Mistral, Verlaine, Kerouac et nous verrons.
jeudi 19 août 2010
19, aout, 10
22:34
Journée Chronique
Aujourd'hui je vais écrire sur plusieurs choses que j'ai envie de critiquer ou commenter, mais que je n'avais pas le moral pour le faire.
Section Gugusse
Avez-vous déjà expérimenter les nouveaux lecteurs de cd chez Archambault? Moi cette semaine, je l'ai fais pour la deuxième fois et je les adore.
Je me promenais dans les allez du HMV avec ma sœur. j'étais un peu morose de voir autant de nouvel album de mes groupes préféré de sorties ou tout simplement des groupes que je trouve très bon. Je me demandais si après autant d'années, ça fait longtemps que je ne m'achète plus de cd, si Papa Roach, Buckcherry, Arcade Fire, Avenged Sevenfold étaient toujours aussi bon. Je me demandais même si le cd de Emeniem que j'avais à la main en valait vraiment la peine. Arpentant les rangés, j'ai cherché les lecteurs multi-disque, mais en vain. Ils ne contenaient que des cd que je ne voulais pas.
Quand ma sœur est repartit avec son nouveau chum, je suis allez faire un tour au Archambault, après m'avoir acheter l'album de Emeniem sans l'avoir écouter. Ma sœur elle, c'est acheté le dernier Avenged Sevenfold.
J'ai tout de même poursuivit ma recherche d'un lecteur contenant le cd de Emeniem, car j'avais un cruel besoin de l'entendre. Je suis tombé face à face avec le mur des nouveautés, confronté à mon manque d'argent. Mais oh, un lecteur numérique comme à Montréal. Il suffit de scanner le code barre de l'album de notre choix et nous pouvons l'écouter en entier. J'ai pu entendre tous les albums qui m'intéressaient.
Généralement, je ne trouvais qu'une ou deux chansons vraiment à mon gouts. Il faut dire aussi que j'étais dans un bizarre de mood. Je vous les fais entendre. J'en profite aussi pour montrer un clip que certains de mes amis on fait, avec l'une des chansons.
Section Film
Je suis allez trois fois au cinéma c'est derniers temps et je n'ai jamais fait une chronique sur les films que je suis allez voir. La voici.
Origine
« Dom Cobb est un voleur de talent, le meilleur dans l'art d'extraire des secrets importants dans les profondeurs du subconscient lors de la phase du rêve, là où l'esprit est le plus vulnérable. Le précieux talent de Cobb lui a donné une place de choix dans le monde de l'espionnage industriel, mais l'a également forcé à devenir un fugitif en plus de lui avoir enlevé tout ce qui lui était cher. Cobb se voit offrir une chance de rédemption, une dernière tentative pourrait lui redonner son ancienne vie mais il doit tenter l'impossible. Au lieu d'un parfait cambriolage, Cobb et son équipe de spécialistes doivent implanter une idée plutôt que de la dérober. S'ils y parviennent, cela pourrait être le crime parfait.»
C'est un très bon film. Quelques fois un peu compliqué et casse-tête, mais très bien réalisé. J'applaudis avec joie les scénariste qui ont toujours su nous garder alerte et concentrer même si le film est plus long que la normal. C'est le genre de film que j'écouterais bien plusieurs fois d'affiler sans me tanner. Juste assez psychologique pour que je ne ressente pas juste le besoin de me divertir en l'écoutant. Heureux hasard, j'ai croisé mon ancien professeur de philosophie cinéphile à l'entrée du cinéma.
Scott Pilgrim contre le monde
Le film raconte l'histoire d'un fainéant (Michael Cera), bassiste dans un groupe de garage, qui rencontre la femme de ses rêves mais découvre qu'il ne pourra gagner son coeur qu'en se battant et en défaisant ses sept vilains ex-petits amis.
Ce film là dès que j'ai vu la bande annonce, j'ai éprouvé un désir hardent de le voir. Plus tard, on m'a apprit que c'était l'adaptation d'une bande dessinée qui ce moque des autres comique. Mais même si on me l'aurait pas dit je l'aurais deviner. L'essentiel du film est dans le montage visuel. Sans ça, le film serait vraiment fade. Une chance, l'équipe de montage était vraiment professionnel. Ils y avaient aussi beaucoup de blague que si je n'aurais pas été un grand adepte d'ordinateur, de manga japonnais et de jeux vidéos (en bref, un geek) que je n'aurais pas comprise. C'est vraiment le sentiment qui me vient en premier. Un film de geek. Néanmoins, j'en suis un et je me suis désopilé pendant de longue minutes durant le film. Quelques fois j'étais le seul à comprendre les blagues, donc j'étais le seul à rire, mais j'aime ça rire seul. L'histoire de base par contre m'a vraiment faite mal. Choisir entre deux filles, une plus jeune et l'autre plus vieille. La tromperie, le mensonge se demander ce qui est le mieux pour l'autre etc. Étrangement, l'une des personnages avait la même coupe de cheveux que mon amie L'Artiste. Je croyais qu'elle était la seule avoir une coupe comme ça. La couleur, je peux comprendre, mais la coupe... Un film que je reverrais plus heureux volontiers, mais je ne sais pas si je me l'achèterait.
Salt
Evelyn Salt a fait serment au devoir, à l'honneur et au pays en sa capacité d'officier de la CIA. Sa loyauté sera durement mise à épreuve lorsqu'un transfuge l'accuse d'être une espionne à la solde des Russes. Salt prend la fuite, usant de sa longue expérience dans l'ombre pour éviter la capture. Les efforts de Salt pour prouver son innocence ne servent qu'à attiser les soupçons qui pèsent sur elle, alors que les efforts pour découvrir sa véritable identité redoublent, et que la question demeure : « Qui est Salt ? »
Je suis allez voir ce film juste pour faire plaisir à mon père. Je savais que les critiques étaient négatives, mais mon père n'a pas l'habitude d'aimer les bons films avec une histoire. Au pire, ce sera divertissant disait ma sœur. Erreur, c'était pire que mes attentes. Mal ficelée, l'histoire était incompréhensible. J'ai dormis un bon bouts du film et c'est un message texte qui m'a réveillé. Même les scènes d'actions étaient ridicules et mal filmés. J'ai sut que c'était un film vraiment mauvais quand j'ai songé à allez boire de l'eau en plein dénouement.
Section Livres
À venir.
Je ne les es pas encore tous finis.
Journée Chronique
Aujourd'hui je vais écrire sur plusieurs choses que j'ai envie de critiquer ou commenter, mais que je n'avais pas le moral pour le faire.
Section Gugusse
Avez-vous déjà expérimenter les nouveaux lecteurs de cd chez Archambault? Moi cette semaine, je l'ai fais pour la deuxième fois et je les adore.
Je me promenais dans les allez du HMV avec ma sœur. j'étais un peu morose de voir autant de nouvel album de mes groupes préféré de sorties ou tout simplement des groupes que je trouve très bon. Je me demandais si après autant d'années, ça fait longtemps que je ne m'achète plus de cd, si Papa Roach, Buckcherry, Arcade Fire, Avenged Sevenfold étaient toujours aussi bon. Je me demandais même si le cd de Emeniem que j'avais à la main en valait vraiment la peine. Arpentant les rangés, j'ai cherché les lecteurs multi-disque, mais en vain. Ils ne contenaient que des cd que je ne voulais pas.
Quand ma sœur est repartit avec son nouveau chum, je suis allez faire un tour au Archambault, après m'avoir acheter l'album de Emeniem sans l'avoir écouter. Ma sœur elle, c'est acheté le dernier Avenged Sevenfold.
J'ai tout de même poursuivit ma recherche d'un lecteur contenant le cd de Emeniem, car j'avais un cruel besoin de l'entendre. Je suis tombé face à face avec le mur des nouveautés, confronté à mon manque d'argent. Mais oh, un lecteur numérique comme à Montréal. Il suffit de scanner le code barre de l'album de notre choix et nous pouvons l'écouter en entier. J'ai pu entendre tous les albums qui m'intéressaient.
Généralement, je ne trouvais qu'une ou deux chansons vraiment à mon gouts. Il faut dire aussi que j'étais dans un bizarre de mood. Je vous les fais entendre. J'en profite aussi pour montrer un clip que certains de mes amis on fait, avec l'une des chansons.
Section Film
Je suis allez trois fois au cinéma c'est derniers temps et je n'ai jamais fait une chronique sur les films que je suis allez voir. La voici.
Origine
« Dom Cobb est un voleur de talent, le meilleur dans l'art d'extraire des secrets importants dans les profondeurs du subconscient lors de la phase du rêve, là où l'esprit est le plus vulnérable. Le précieux talent de Cobb lui a donné une place de choix dans le monde de l'espionnage industriel, mais l'a également forcé à devenir un fugitif en plus de lui avoir enlevé tout ce qui lui était cher. Cobb se voit offrir une chance de rédemption, une dernière tentative pourrait lui redonner son ancienne vie mais il doit tenter l'impossible. Au lieu d'un parfait cambriolage, Cobb et son équipe de spécialistes doivent implanter une idée plutôt que de la dérober. S'ils y parviennent, cela pourrait être le crime parfait.»
C'est un très bon film. Quelques fois un peu compliqué et casse-tête, mais très bien réalisé. J'applaudis avec joie les scénariste qui ont toujours su nous garder alerte et concentrer même si le film est plus long que la normal. C'est le genre de film que j'écouterais bien plusieurs fois d'affiler sans me tanner. Juste assez psychologique pour que je ne ressente pas juste le besoin de me divertir en l'écoutant. Heureux hasard, j'ai croisé mon ancien professeur de philosophie cinéphile à l'entrée du cinéma.
Scott Pilgrim contre le monde
Le film raconte l'histoire d'un fainéant (Michael Cera), bassiste dans un groupe de garage, qui rencontre la femme de ses rêves mais découvre qu'il ne pourra gagner son coeur qu'en se battant et en défaisant ses sept vilains ex-petits amis.
Salt
Evelyn Salt a fait serment au devoir, à l'honneur et au pays en sa capacité d'officier de la CIA. Sa loyauté sera durement mise à épreuve lorsqu'un transfuge l'accuse d'être une espionne à la solde des Russes. Salt prend la fuite, usant de sa longue expérience dans l'ombre pour éviter la capture. Les efforts de Salt pour prouver son innocence ne servent qu'à attiser les soupçons qui pèsent sur elle, alors que les efforts pour découvrir sa véritable identité redoublent, et que la question demeure : « Qui est Salt ? »
Je suis allez voir ce film juste pour faire plaisir à mon père. Je savais que les critiques étaient négatives, mais mon père n'a pas l'habitude d'aimer les bons films avec une histoire. Au pire, ce sera divertissant disait ma sœur. Erreur, c'était pire que mes attentes. Mal ficelée, l'histoire était incompréhensible. J'ai dormis un bon bouts du film et c'est un message texte qui m'a réveillé. Même les scènes d'actions étaient ridicules et mal filmés. J'ai sut que c'était un film vraiment mauvais quand j'ai songé à allez boire de l'eau en plein dénouement.
Section Livres
À venir.
Je ne les es pas encore tous finis.
mercredi 18 août 2010
18, aout, 10
18:26
Je ne sais pas si c'est ma malchance, le hasard ou mon apitoiement, mais quand je tente dans ma déprime profonde de rejoindre quelqu'un pour parler, me faire consoler, remonter le moral. Il y a juste MJ que je réussi à rejoindre. C'est tellement une fille géniale. Je me suis chicaner vraiment dur avec ma copine, LB ceux qui ne l'avaient pas deviner, et je n'arrive pas à lui parler, ni la voir alors que je rentre au cégep dans quelques jours et doit donner un show avec elle dimanche. Je ne sais pas quelles textes elle veut faire n'y dans quel ordre, alors que je dois donner toutes c'est informations le plus tôt possible à l'organisateur et aux musiciens. Si non, je serais pogner à faire moi-même plusieurs textes et toutes l'organisation qui en découle. Déjà que j'ai deux représentations de théâtre dans une journée. Ça m'épuise alors que c'était supposer être ma dernière journée de vacance. Je sais que LB est chez c'est parents, et j'ai le numéro, mais j'ose pas appeler peut-être plus tard.
23:09
Tout est presque réglé j'ai même pu jouer au Game Cube.
Je ne sais pas si c'est ma malchance, le hasard ou mon apitoiement, mais quand je tente dans ma déprime profonde de rejoindre quelqu'un pour parler, me faire consoler, remonter le moral. Il y a juste MJ que je réussi à rejoindre. C'est tellement une fille géniale. Je me suis chicaner vraiment dur avec ma copine, LB ceux qui ne l'avaient pas deviner, et je n'arrive pas à lui parler, ni la voir alors que je rentre au cégep dans quelques jours et doit donner un show avec elle dimanche. Je ne sais pas quelles textes elle veut faire n'y dans quel ordre, alors que je dois donner toutes c'est informations le plus tôt possible à l'organisateur et aux musiciens. Si non, je serais pogner à faire moi-même plusieurs textes et toutes l'organisation qui en découle. Déjà que j'ai deux représentations de théâtre dans une journée. Ça m'épuise alors que c'était supposer être ma dernière journée de vacance. Je sais que LB est chez c'est parents, et j'ai le numéro, mais j'ose pas appeler peut-être plus tard.
23:09
Tout est presque réglé j'ai même pu jouer au Game Cube.
mardi 17 août 2010
17, aout, 10
21:41
J'ai l'épaule entaillé profondément, ça me fait souffrir. Je ne peux même plus m'entrainer pour passer ma tristesse si non je vais ouvrir plus ma plais et je vais me déchirer toute l'épaule. J'ai tellement besoin de m'entrainer en plus. M'évacuer un peu. Je ne vais tellement pas bien. J'ai des bons amis qui me font tenir le cap jusqu'à 5h du matin, mais après je lâche. Je coule, je m'effondre, je deviens poussière. Je me suis acheter le dernier album de Emeniem et réécoute en boucle la chanson: Love the way you lie. Ça me rappel cruellement ma vie. Tout me rappel ma vie. Hier, je suis allez voir le film Scott Pilgrim contre le monde, c'était cruel. Je veux que le cégep commence enfin pour me tenir occuper.
J'ai l'épaule entaillé profondément, ça me fait souffrir. Je ne peux même plus m'entrainer pour passer ma tristesse si non je vais ouvrir plus ma plais et je vais me déchirer toute l'épaule. J'ai tellement besoin de m'entrainer en plus. M'évacuer un peu. Je ne vais tellement pas bien. J'ai des bons amis qui me font tenir le cap jusqu'à 5h du matin, mais après je lâche. Je coule, je m'effondre, je deviens poussière. Je me suis acheter le dernier album de Emeniem et réécoute en boucle la chanson: Love the way you lie. Ça me rappel cruellement ma vie. Tout me rappel ma vie. Hier, je suis allez voir le film Scott Pilgrim contre le monde, c'était cruel. Je veux que le cégep commence enfin pour me tenir occuper.
lundi 16 août 2010
16, aout, 10
modifié à 02:32
J'ai vu MJ aujourd'hui. Je ne savais pas que j'avais temps de mots à échanger et de larmes aussi; et bien malgré mes résistances, de l'amour. Ça m'a vraiment fait du bien de la voir, je ne peux pas croire que c'était peut-être la dernière fois. Je me permettrai donc de dire qu'elle était outrageusement très belle, rayonnante, sentait bon, amusante, rafraichissante, compréhensive et plein d'autres qualificatifs qui me font regretter mon ancienne relation avec elle. Je lui es même dit mes deux derniers slams qui parlaient d'elles. Elle connait maintenant la teneur de mes vieux sentiments. Malgré mes efforts, je n'ai pas changé.
Je suis rester le gars que j'aimais être quand je sortais avec elle, mais maintenant, je suis mal dans ma peau. Je n'ai plus assez confiance en moi. Les mots mon quitté, la passion et ce qui me fait le plus mal, le désir des autres à côtoyer ma vie. Je me sens tellement seul depuis des mois. S'était un sentiment enfoui en moi que des méditations ont réveillé lors de mes pratique de théâtre. Je suis presque toujours entouré et je cours d'un projet à l'autre, mais la solitude me pèse sur les épaules. Ce désir de tous faire en même temps n'est qu'éphémère, car quand je rentre chez moi, épuisé découragé avec un profond besoin de réconfort, il n'y a personne. Les lumières sont éteintes mon lit en fait, ma chambre est froide et je suis là debout dans cette pièce ,que je ne sens plus beaucoup comme mienne, le temps de dormir et d'aller chercher du réconfort ailleurs. J'aimerais de tout mon cœur que quelqu'un m'attende quand je rentre. Un visage familier, avec un sourire, les bras grands ouvert m'obligeant à fermer mon cellulaire, m'empêchant de regarder mes messages me disant: tu te reposes avec moi, tu t'occuperas de ça demain quand je serai partit et que tu iras mieux, pas avant. Quand je trouve un pièce à terre, en jette une dans une fontaine, voit une étoile filante, qu'il est 10:10, 11:11, 12:12... Je fais se souhait: quelqu'un qui m'attends ,sens que ce soit prévu, quand je rentre chez moi.Je sais c'est niaiseux, mais c'est plus fort que moi. Quelques fois je fais une variante et souhaite que tout deviennent simple.
J'ai fais des allusions subtiles, en est parlé à mes plus proches amis ,les plus bavards, montré où est ma clé cachée, mais ce n'est jamais arrivé. Je ne demande pas ça à ceux qui habite à l'extérieur et qui je sais très bien le ferait volontiers, mais les autres? Un coup de téléphone juste pour savoir comment je vais, je n'ai plus ça depuis MJ. Ça me manque tellement, moi qui dans le temps trouvait ça beaucoup trop d'attention pour mon rythme de vie, j'en vois maintenant l'effet sur mon tempérament. Il y a quelques semaine, j'avais parlé à l'Actrice au téléphone après une grosse journée, ça m'avait tellement fait du bien. Je me souvenais à peine du son de sa voix, moi qui lui parlait des fois 3h par soir. Bon je dors sur un divan, mais amis ne voulait pas me laisser seul encore après une telle journée.
Pour ceux qui connaissent mon autre blog il y a un poème
J'ai vu MJ aujourd'hui. Je ne savais pas que j'avais temps de mots à échanger et de larmes aussi; et bien malgré mes résistances, de l'amour. Ça m'a vraiment fait du bien de la voir, je ne peux pas croire que c'était peut-être la dernière fois. Je me permettrai donc de dire qu'elle était outrageusement très belle, rayonnante, sentait bon, amusante, rafraichissante, compréhensive et plein d'autres qualificatifs qui me font regretter mon ancienne relation avec elle. Je lui es même dit mes deux derniers slams qui parlaient d'elles. Elle connait maintenant la teneur de mes vieux sentiments. Malgré mes efforts, je n'ai pas changé.
Je suis rester le gars que j'aimais être quand je sortais avec elle, mais maintenant, je suis mal dans ma peau. Je n'ai plus assez confiance en moi. Les mots mon quitté, la passion et ce qui me fait le plus mal, le désir des autres à côtoyer ma vie. Je me sens tellement seul depuis des mois. S'était un sentiment enfoui en moi que des méditations ont réveillé lors de mes pratique de théâtre. Je suis presque toujours entouré et je cours d'un projet à l'autre, mais la solitude me pèse sur les épaules. Ce désir de tous faire en même temps n'est qu'éphémère, car quand je rentre chez moi, épuisé découragé avec un profond besoin de réconfort, il n'y a personne. Les lumières sont éteintes mon lit en fait, ma chambre est froide et je suis là debout dans cette pièce ,que je ne sens plus beaucoup comme mienne, le temps de dormir et d'aller chercher du réconfort ailleurs. J'aimerais de tout mon cœur que quelqu'un m'attende quand je rentre. Un visage familier, avec un sourire, les bras grands ouvert m'obligeant à fermer mon cellulaire, m'empêchant de regarder mes messages me disant: tu te reposes avec moi, tu t'occuperas de ça demain quand je serai partit et que tu iras mieux, pas avant. Quand je trouve un pièce à terre, en jette une dans une fontaine, voit une étoile filante, qu'il est 10:10, 11:11, 12:12... Je fais se souhait: quelqu'un qui m'attends ,sens que ce soit prévu, quand je rentre chez moi.Je sais c'est niaiseux, mais c'est plus fort que moi. Quelques fois je fais une variante et souhaite que tout deviennent simple.
J'ai fais des allusions subtiles, en est parlé à mes plus proches amis ,les plus bavards, montré où est ma clé cachée, mais ce n'est jamais arrivé. Je ne demande pas ça à ceux qui habite à l'extérieur et qui je sais très bien le ferait volontiers, mais les autres? Un coup de téléphone juste pour savoir comment je vais, je n'ai plus ça depuis MJ. Ça me manque tellement, moi qui dans le temps trouvait ça beaucoup trop d'attention pour mon rythme de vie, j'en vois maintenant l'effet sur mon tempérament. Il y a quelques semaine, j'avais parlé à l'Actrice au téléphone après une grosse journée, ça m'avait tellement fait du bien. Je me souvenais à peine du son de sa voix, moi qui lui parlait des fois 3h par soir. Bon je dors sur un divan, mais amis ne voulait pas me laisser seul encore après une telle journée.
Pour ceux qui connaissent mon autre blog il y a un poème
dimanche 15 août 2010
15, aout, 10
03:50
Pour la première fois depuis qu ils ont change d appartement je dors chez les Bin Beaux Culs sous le SOLEIL. J étais photographe pour le mariage d une sœur de l une d entre eux aujourd'hui. Cette passion me manquait terriblement. J avais demander un salaire dérisoire juste pour y retoucher un peu. J étais par la suite supposer allez dormir avec LB question de prendre du courage un peu avant d affronter ma peur des dernières semaine; ma discussion avec MJ. Bien sur, comme toute chose importantes prévus avec LB c est tombée a l eau. Face a mon désarroi et la tristesse constante que me fait éprouver cette fille la mes amis mon accueilli chez-eux. Je n arrive pas a trouver le sommeil. Je devrais prendre mes produits pour m aider 'a dormir, mais il est déconseille de les prendre en déprime. Demain, je serai seul face a mon amour pour MJ. Je ne sais pas quand je vais revoir LB. Un jour ou je ne me sentirai pas seul peut-être. Je vais rentrer tôt après une belle journée avec mes amis et elle sera la a refroidir mon lit. Je vais laisser cette idee a d autres. Le cégep commence bientôt. Un nouveau monde, de nouvelles personnes. Mais avant, je dois rencontrer le sujet du 3/4 de mon dernier recueil.
p.s: désoler ce n est pas mon clavier
Pour la première fois depuis qu ils ont change d appartement je dors chez les Bin Beaux Culs sous le SOLEIL. J étais photographe pour le mariage d une sœur de l une d entre eux aujourd'hui. Cette passion me manquait terriblement. J avais demander un salaire dérisoire juste pour y retoucher un peu. J étais par la suite supposer allez dormir avec LB question de prendre du courage un peu avant d affronter ma peur des dernières semaine; ma discussion avec MJ. Bien sur, comme toute chose importantes prévus avec LB c est tombée a l eau. Face a mon désarroi et la tristesse constante que me fait éprouver cette fille la mes amis mon accueilli chez-eux. Je n arrive pas a trouver le sommeil. Je devrais prendre mes produits pour m aider 'a dormir, mais il est déconseille de les prendre en déprime. Demain, je serai seul face a mon amour pour MJ. Je ne sais pas quand je vais revoir LB. Un jour ou je ne me sentirai pas seul peut-être. Je vais rentrer tôt après une belle journée avec mes amis et elle sera la a refroidir mon lit. Je vais laisser cette idee a d autres. Le cégep commence bientôt. Un nouveau monde, de nouvelles personnes. Mais avant, je dois rencontrer le sujet du 3/4 de mon dernier recueil.
p.s: désoler ce n est pas mon clavier
jeudi 12 août 2010
12, aout, 10
02:11
Une très belle journée. Après la pluie viens le beau temps est l'expression du jour. Je me lève, après avoir dormi toute une nuit, retarde mon cadran d'une demie heure et me lève. Je vais me faire couper les cheveux, déposer ma paye, acheter une nouvelle carte de cellulaire, manger des tacos( j'en voulais depuis longtemps) écouter de la bonne musique, commande des verres de contact et LB frappe à la porte. Je la raccompagne à la bibliothèque, croise un ami et va voir mon meilleur ami. Après j'anime une soirée slam où tout se passe très bien. Plusieurs musiciens, d'on le musicien s'échange une guitare pour accompagner les textes. Après pratique de théâtre, ça me tente plus ou moins, car ça me fait manquer un souper et un bière, mais la générale se passe super bien. À mon retour, mon lit est vide mais un sac m'attend. Il contient des vitamines pour ma musculation, des vitamines pour dormir et des verres de contact. J'aime ma mère. Demain, je suis en tournage, voit l'amoureuse et fait pour la première fois la pièce devant des médias. Je suis confiant. Il y avait aussi un message de LB et de MJ dans ma boite e-mail tout deux me rendant heureux. Je vois MJ dimanche, je me demande toujours ce que je vais lui dire. Elle qui suit assidument mes deux blogs. À oui, mon autre blog, un peu mon préféré je dois l'avouer, est c'est dernier temps suivit par une foule de gens que je ne connais pas, yeah.
Une photo étrange pour garder le nouvel agrément de ce blog. |
mercredi 11 août 2010
11, aout, 10
00:08
Je n'ai jamais eu autant eu l'impression que l'expression fuck ma vie s'adaptait aussi bien à moi.
La nuit dernière j'ai très peu dormir. Occupé à écrire la nouvelle précédente et à être accablé d'insomnie.
Je me suis fais réveillé par un téléphone et par la suite par des coups de marteau très tôt dans la journée. Par la suite un peu comateux, je me suis rendu chez mon ami pour écouter un film. Après quelques minutes je me suis rendu compte que mon verre de contact était percé. Je me suis rendu chez moi et n'ai trouvé que des vers de contact de l'autre œil, j'ai pris mes lunettes brisé qui sont rendu inconfortable pour cette raison là. Je repars chez mon ami au moment précis où un orage me tombe sur la tête. Tout trempe, j'écoute l'équivalent d'une heure de film, car je dois allez chercher pour la dernière fois ma paye et par la suite me rendre à une pratique éreintante de théâtre. Je rentre chez moi quatre heures plus tard, un lit vide m'attendait. Avec comme seul message personnel dans ma boite de e-mail, un message de MJ, alors que j'en attendais plusieurs autres. Je recommence demain.
Je n'ai jamais eu autant eu l'impression que l'expression fuck ma vie s'adaptait aussi bien à moi.
La nuit dernière j'ai très peu dormir. Occupé à écrire la nouvelle précédente et à être accablé d'insomnie.
Je me suis fais réveillé par un téléphone et par la suite par des coups de marteau très tôt dans la journée. Par la suite un peu comateux, je me suis rendu chez mon ami pour écouter un film. Après quelques minutes je me suis rendu compte que mon verre de contact était percé. Je me suis rendu chez moi et n'ai trouvé que des vers de contact de l'autre œil, j'ai pris mes lunettes brisé qui sont rendu inconfortable pour cette raison là. Je repars chez mon ami au moment précis où un orage me tombe sur la tête. Tout trempe, j'écoute l'équivalent d'une heure de film, car je dois allez chercher pour la dernière fois ma paye et par la suite me rendre à une pratique éreintante de théâtre. Je rentre chez moi quatre heures plus tard, un lit vide m'attendait. Avec comme seul message personnel dans ma boite de e-mail, un message de MJ, alors que j'en attendais plusieurs autres. Je recommence demain.
mardi 10 août 2010
10, aout, 10
03:28
Je n'oublie pas ce blog, une autre nouvelle est en route. Je n'ai rien d'autres d'intéressent à écrire
Deux hommes sont assis face à face dans un bureau. Une différence de 20 ans les sépare.
C'est la première fois depuis vingt-cinq ans, que je n'ai pas eu des nouvelles d'elle. La dernière fois que je lui es parlé elle m'avait dit d'entré de jeu: «Après cette conversation, tu sors de ma vie.»
À l'époque, ça m'avait paru impossible. Je croyais la croiser dans la rue, avoir des informations d'elle du moins, en entendre parler vaguement. Mais il faut croire qu'elle avait raison, plus jamais je n'ai entendu parler d'elle depuis aujourd'hui. Je ne sais pas comment elle si est prise, mais j'aurais aimer le savoir.
Avec les années, j'ai oublié beaucoup de choses de mon adolescence. Des numéros de téléphone, des adresses, des dates, des évènement, des vieux amis, mais elle jamais. Je me suis toujours rappelé d'elle. J'aurai aimer la sortir de ma mémoire, j'y es beaucoup d'efforts, mais je crois que ça créait l'inverse. Plus je la repoussais, plus elle rester encrée dans mon esprit.
Je me souvenais de son odeur, de ses yeux, de la couleur exacte de sa peau, du moindre de ses cheveux. Je peux encore aujourd'hui, vous la décrire aussi distinctement que si je l'aurais vu ce matin.
Je ne l'ai pas aimer plus qu'une autre, ni moins d'ailleurs, je l'ai aimé avec autant d'ardeur et de dévouement que toutes celles qui ont côtoyées ma vie. Seulement...elle m'a été la plus marquante.
Je ne sais pas si c'est en lien avec le fait que, jamais plus je n'en es entendu parler.
Je suis resté sur mon vieil amour, comme si cette fille n'aurait jamais changée. Qu'elle n'est jamais devenu quelqu'un qui aurait pu me déplaire après quelques années.
Nous n'étions déjà plus ensemble la dernière fois que je l'ai vu. Quand cette conversation eu lieu, je la voyais pour la première depuis plusieurs mois. J'avais plus changé qu'elle se qui ne l'empêcha pas de me reconnaitre à l'instant où elle entra dans la salle. La bière à ma main du l'aidée quelque peu.
Elle était belle, elle me sembla un peu nerveuse et inquiète, mais cela ne se voyait que dans ses yeux. Le reste de son corps respirait la confiance en elle. J'aurais aimé lui en voler un peu. Elle ne le savait pas, mais s'était la deuxième bière que je prenais dans mes mains pour trouver quoi lui dire.
Les mots mon toujours été fidèles, c'est d'ailleurs comme ça que je l'ai connu, mais cette fois j'ai eu l'impression qu'il n'était pas dans mon camp. Je m'exprimais mal, n'arrivais pas à me faire comprendre. Elle sobre, y arrivait beaucoup mieux que moi. M'intimant à garder un silence gênant, quand je n'arborait pas un sourire niait. Cette conversation ne dura qu'une heure, mais jamais je n'ai autant perdu la perception du temps qu'à ce moment là. Dans cette petite micro-brasserie sombre faite d'un style vieillot. Elle s'était emparé de ce qui auparavant m'avait paru si familier.
Depuis cette conversation, je n'y suis jamais retourné. Je n'ai jamais dit à mes amis la raison de cette désertion, ce qui ma valu de manquer de nombreuses chaleureuses soirées en leur compagnie. Et avec la temps la perte de certains amis pourtant très proche; cruels quand il vient le choix d'un alcool.
Cet endroit était rendu trop chargé de... moi.
Cette femme qui m'avait temps aimer a débité tant de facette de ma personnalité qu'il m'a semblé qu'à jamais les murs et le parquet en était imprégnés.
J'ai déjà dis que je me souvenais des moindres détails de cette personne que j'ai aimée, il c'est avérer que le moindre regard sur un objet qui a été en contact de près ou de loin avec elle. Me la ramenait en mémoire avec une douleur aussi vive et cruelle, qu'on aurait dit que je m'étais brulé l'intérieur du crâne.
Ce qui me fit éviter plusieurs endroits où avant, je me plaisais. Je perdis peu à peu les derniers amis qui me restaient.
Ma vie sans elle changea du tout au tout.
Bien sur, je garda certaines occupations; celles quelles avaient toujours détestées. Mes études, elle les trouvait glauques et déprimantes. Je m'y suis jeté corps et âme. Moi qui n'a jamais été très assidu à l'école je devin rapidement le meilleurs du département. Promis à un grand avenir, je m'en tin tout de même à ma première idée. C'est pourquoi que j'ai choisi votre laboratoire et que j'y travail assidument depuis maintenant 10 ans .
Mais aujourd'hui, je ne peux pas faire mon travail. Vous comprendrez qu'après tout ce que je viens de vous dire, je ne pourrai être son coronaire.
Je n'oublie pas ce blog, une autre nouvelle est en route. Je n'ai rien d'autres d'intéressent à écrire
Josh
Deux hommes sont assis face à face dans un bureau. Une différence de 20 ans les sépare.
C'est la première fois depuis vingt-cinq ans, que je n'ai pas eu des nouvelles d'elle. La dernière fois que je lui es parlé elle m'avait dit d'entré de jeu: «Après cette conversation, tu sors de ma vie.»
À l'époque, ça m'avait paru impossible. Je croyais la croiser dans la rue, avoir des informations d'elle du moins, en entendre parler vaguement. Mais il faut croire qu'elle avait raison, plus jamais je n'ai entendu parler d'elle depuis aujourd'hui. Je ne sais pas comment elle si est prise, mais j'aurais aimer le savoir.
Avec les années, j'ai oublié beaucoup de choses de mon adolescence. Des numéros de téléphone, des adresses, des dates, des évènement, des vieux amis, mais elle jamais. Je me suis toujours rappelé d'elle. J'aurai aimer la sortir de ma mémoire, j'y es beaucoup d'efforts, mais je crois que ça créait l'inverse. Plus je la repoussais, plus elle rester encrée dans mon esprit.
Je me souvenais de son odeur, de ses yeux, de la couleur exacte de sa peau, du moindre de ses cheveux. Je peux encore aujourd'hui, vous la décrire aussi distinctement que si je l'aurais vu ce matin.
Je ne l'ai pas aimer plus qu'une autre, ni moins d'ailleurs, je l'ai aimé avec autant d'ardeur et de dévouement que toutes celles qui ont côtoyées ma vie. Seulement...elle m'a été la plus marquante.
Je ne sais pas si c'est en lien avec le fait que, jamais plus je n'en es entendu parler.
Je suis resté sur mon vieil amour, comme si cette fille n'aurait jamais changée. Qu'elle n'est jamais devenu quelqu'un qui aurait pu me déplaire après quelques années.
Nous n'étions déjà plus ensemble la dernière fois que je l'ai vu. Quand cette conversation eu lieu, je la voyais pour la première depuis plusieurs mois. J'avais plus changé qu'elle se qui ne l'empêcha pas de me reconnaitre à l'instant où elle entra dans la salle. La bière à ma main du l'aidée quelque peu.
Elle était belle, elle me sembla un peu nerveuse et inquiète, mais cela ne se voyait que dans ses yeux. Le reste de son corps respirait la confiance en elle. J'aurais aimé lui en voler un peu. Elle ne le savait pas, mais s'était la deuxième bière que je prenais dans mes mains pour trouver quoi lui dire.
Les mots mon toujours été fidèles, c'est d'ailleurs comme ça que je l'ai connu, mais cette fois j'ai eu l'impression qu'il n'était pas dans mon camp. Je m'exprimais mal, n'arrivais pas à me faire comprendre. Elle sobre, y arrivait beaucoup mieux que moi. M'intimant à garder un silence gênant, quand je n'arborait pas un sourire niait. Cette conversation ne dura qu'une heure, mais jamais je n'ai autant perdu la perception du temps qu'à ce moment là. Dans cette petite micro-brasserie sombre faite d'un style vieillot. Elle s'était emparé de ce qui auparavant m'avait paru si familier.
Depuis cette conversation, je n'y suis jamais retourné. Je n'ai jamais dit à mes amis la raison de cette désertion, ce qui ma valu de manquer de nombreuses chaleureuses soirées en leur compagnie. Et avec la temps la perte de certains amis pourtant très proche; cruels quand il vient le choix d'un alcool.
Cet endroit était rendu trop chargé de... moi.
Cette femme qui m'avait temps aimer a débité tant de facette de ma personnalité qu'il m'a semblé qu'à jamais les murs et le parquet en était imprégnés.
J'ai déjà dis que je me souvenais des moindres détails de cette personne que j'ai aimée, il c'est avérer que le moindre regard sur un objet qui a été en contact de près ou de loin avec elle. Me la ramenait en mémoire avec une douleur aussi vive et cruelle, qu'on aurait dit que je m'étais brulé l'intérieur du crâne.
Ce qui me fit éviter plusieurs endroits où avant, je me plaisais. Je perdis peu à peu les derniers amis qui me restaient.
Ma vie sans elle changea du tout au tout.
Bien sur, je garda certaines occupations; celles quelles avaient toujours détestées. Mes études, elle les trouvait glauques et déprimantes. Je m'y suis jeté corps et âme. Moi qui n'a jamais été très assidu à l'école je devin rapidement le meilleurs du département. Promis à un grand avenir, je m'en tin tout de même à ma première idée. C'est pourquoi que j'ai choisi votre laboratoire et que j'y travail assidument depuis maintenant 10 ans .
Mais aujourd'hui, je ne peux pas faire mon travail. Vous comprendrez qu'après tout ce que je viens de vous dire, je ne pourrai être son coronaire.
vendredi 6 août 2010
06, aout, 10
23:52
«Je t'ai donné mon coeur
tu m'as redonné le change
Et tu es partit
Je t'aurais bien retenue
Mais j'avais un 2 litres de Pepsi
Dans chaque main
Et une caisse de 24 à la caisse.»
«Je t'ai donné mon coeur
tu m'as redonné le change
Et tu es partit
Je t'aurais bien retenue
Mais j'avais un 2 litres de Pepsi
Dans chaque main
Et une caisse de 24 à la caisse.»
mercredi 4 août 2010
04, aout, 10
20:07
Les derniers jours, j'ai été opprimé dans le fond de mon lit avec l'insomnie et une vilaine maladie. Je me bas d'ailleurs encore. Pendant ce temps, beaucoup de mes amis ont écrient eux sur leurs blogs. Je ne sais pas si l'état où je me trouve ou bien réellement ça, mais je décrirais tout ses textes, même si ils ne sont pas écrient pas les mêmes mains comme gris.
En espérant leur remettre le sourire voici un documentaire intéressant sur la fabrication de poupée sexuelle de qualité. C'est fou comme le faux peut avoir l'air vrai. Ne vous inquiétez pas, bientôt je vais retomber plus conventionnel. Et ma nouvelle? Vous l'avez aimée?
Honey Pie from California is a place. on Vimeo.
Les derniers jours, j'ai été opprimé dans le fond de mon lit avec l'insomnie et une vilaine maladie. Je me bas d'ailleurs encore. Pendant ce temps, beaucoup de mes amis ont écrient eux sur leurs blogs. Je ne sais pas si l'état où je me trouve ou bien réellement ça, mais je décrirais tout ses textes, même si ils ne sont pas écrient pas les mêmes mains comme gris.
En espérant leur remettre le sourire voici un documentaire intéressant sur la fabrication de poupée sexuelle de qualité. C'est fou comme le faux peut avoir l'air vrai. Ne vous inquiétez pas, bientôt je vais retomber plus conventionnel. Et ma nouvelle? Vous l'avez aimée?
Honey Pie from California is a place. on Vimeo.
lundi 2 août 2010
02, aout, 10
00:41-03:22
La raison pour laquelle elle se retrouvait, à 28 ans, sur la rue est trop laide pour être racontée. De toute façon peut maintenant la connaissait; elle n'en parlait plus. Elle n'était plus nouvelle dans le métier, les questions se faisaient plus rare.
Une voiture sombre, d'un modèle populaire quoique datant de quelque années, s'arrêta à sa hauteur.
«C'est combien ?» demande une voix guttural du fond de l'automobile. «Ça dépend de ce que tu veux que je te fasse mon choux.» Elle ne faisait pas tout, elle ne le faisait plus, mais elle voulait garder le client. Elle avait besoin de l'argent.
Sa réponse sembla satisfaire l'homme.
«Allez monte»
Dans la brève lumière du plafonnier elle regarda le client.
Mâchoire carré, menton pointu, une barbe de quelques jours, les cheveux mis court, d'un noir d'éden, c'est tout ce qu'elle pu apercevoir.
Il choisi l'endroit, un hôtel un peu miteux, mais loin d'être le pire qu'elle connaissait.
Tout le long du trajet, aucun mot ne sortit de ses lèvres, il se contentait de tenir fermement le volant en regardant d'un œil attentif la rue déserte du soir. De la pluie était tombé, ça se reflétait sur le bitume, sous les phares de la voiture.
Ils arrivèrent à l'hôtel, quelques rues plus loin. Après avoir garer la voiture, il montèrent , à l'étage sans se presser. Ils ne passèrent pas à l'accueil, il avait déjà la clé de la chambre.
Quand il l'introduisit dans la serrure, elle put l'observer un peu plus dans le halo jaunâtre du corridor. Il était petit, pas trop, mais tout de même plus que la moyenne masculine, munit d'une carrure plus musclé par contre.
L'intérieur de la chambre n'était guère mieux que l'extérieure. Utilitaire, était le seul mots qui la désignait.
Un lit qui en avait vu d'autres avant eux à l'édredon fatigué, deux tables de nuits en bois sombre, deux lampe de chevet du même modèle, mais d'on une seule est munie d'une ampoule, une porte, surement celle de la salle de bain, et une chaise de bois blanc écaillé. situé près de la fenêtre donnant sur l'enseigne d'un cinéma de quartier constituaient le décor.
Le client déposa son manteau sur la chaise et dit: «déshabille toi, je reviens.» Il entra dans la salle de bain.
Elle ne se pressa pas pour faire ce qui lui dicta. S'exposer au froid en quittant la mince chaleur que lui octroyait ses vêtements ne lui tentait guère.
Elle fit tout de même, sobrement, elle ne lui restait plus qu'un bas à enlever quand il sortit des toilettes, une bière déjà bien entamé à la main.
Il l'embrassa, ça gouttait l'alcool.
Il déposa sa bouteille sur le planché et la poussa, pas fort, mais tout de même fermement sur le lit.
Elle se laissa faire, quand il se coucha sur elle, s'était presque devenu une routine. Elle toute nue, lui, encore habillé.
Il la regarda profondément dans les yeux. On aurait dit qu'il cherchait quelque chose.
Il le trouva peut-être car il sourit et enleva son t-shirt. Sous le tissu, se trouvait un buste que les années avait sculpté. Une longue balafre qui semblait usée saillait de l'épaule gauche jusqu'au abdominaux. Elle ne lui en demanda pas l'origine, elle aurait peut-être dû. Il lui saisi les poignets de ses grandes mains, prit un foulard noir dans la poche arrière de son jeans et lui attacha les mains ensemble solidement.
«Je m'occupe de tout.»
Une mince lueur d'inquiétude passa dans ses yeux, mais son professionnalisme ne laissa rien paraître.
Il enleva le reste de ses vêtements avec beaucoup plus de hâte qu'elle ne l'avait fait. «Il n'a pas à craindre le froid lui.» Se surprit-elle à penser. Elle avait raison, il avait à se soucier d'autres choses plus importantes .
Une fois aussi nue qu'elle, il s'en donna à cœur joie. Mordant ici et là, juste assez pour laisser quelques marques rouge, grafignant à d'autres endroits avec ses ongles.
Laissant libre court à sa sauvagerie sexuelle sur le corps de la femme, le client poussait quelques halètements du fond de sa gorge. Dans ses actions brusques et rapides, il donna même quelques plaisirs à la femme qui était habituée à ne plus rien ressentir. Ses mouvements secs et rapides arrivèrent même à lui faire oublier le froid qui la tenaillait quelques minutes plus tôt.
Puis, son bras se tendit, quittant ses hanches il se tendit vers le tiroir de table de chevet. Tranquillement, pour ne pas alerter la femme, il déplaça la bible qui si trouvait prit un long couteau bien affilé et, en poignarda le ventre de la prostitué. Une fois d'un mouvement sec, une deuxièmes fois, puis une troisièmes, de plus en plus fort, de plus en plus vite. Il étouffa les cris de la femme avec sa main restée libre. Le corps se cambra sous les premier coups, mais devint rapidement immobile.
Après avoir jouit, il se retira, se leva tranquillement, prit la bière qui était resté au pied du lit, la termina d'une longue gorgée, essuya son couteau sur le couvre lit, le mit dans la poche de son manteau, se rhabilla et sortit. Il savait que quelques heures plus tard, la chambre serait de nouveau utilisable.
Nincy
Un vent anormalement froid mordait ses chevilles. C'était la nuit la plus glacial de l'année, sur la rue. Habituellement, quand elle avait trop froid, elle se réfugiait au petit snack du coin, Chez John's, pour prendre un café et placoter un peu avec les autres filles; mais il était encore trop tôt pour une pause. La semaine avait été maigre, elle ne pouvait s'accorder un sursis. Mais elle se referait ce soir, le froid attire toujours les hommes les plus frileux. Beaucoup, préfère la chaleur humaine à celle de que leur offrait quelques degrés de plus sur le thermostat. Ils étaient chanceux, pensait-elle, ça faisait longtemps que le moindre contacte charnel ne la réchauffait plus. Elle était devenu se que les moins, complaisant appelait un cœur glacial. La raison pour laquelle elle se retrouvait, à 28 ans, sur la rue est trop laide pour être racontée. De toute façon peut maintenant la connaissait; elle n'en parlait plus. Elle n'était plus nouvelle dans le métier, les questions se faisaient plus rare.
Une voiture sombre, d'un modèle populaire quoique datant de quelque années, s'arrêta à sa hauteur.
«C'est combien ?» demande une voix guttural du fond de l'automobile. «Ça dépend de ce que tu veux que je te fasse mon choux.» Elle ne faisait pas tout, elle ne le faisait plus, mais elle voulait garder le client. Elle avait besoin de l'argent.
Sa réponse sembla satisfaire l'homme.
«Allez monte»
Dans la brève lumière du plafonnier elle regarda le client.
Mâchoire carré, menton pointu, une barbe de quelques jours, les cheveux mis court, d'un noir d'éden, c'est tout ce qu'elle pu apercevoir.
Il choisi l'endroit, un hôtel un peu miteux, mais loin d'être le pire qu'elle connaissait.
Tout le long du trajet, aucun mot ne sortit de ses lèvres, il se contentait de tenir fermement le volant en regardant d'un œil attentif la rue déserte du soir. De la pluie était tombé, ça se reflétait sur le bitume, sous les phares de la voiture.
Ils arrivèrent à l'hôtel, quelques rues plus loin. Après avoir garer la voiture, il montèrent , à l'étage sans se presser. Ils ne passèrent pas à l'accueil, il avait déjà la clé de la chambre.
Quand il l'introduisit dans la serrure, elle put l'observer un peu plus dans le halo jaunâtre du corridor. Il était petit, pas trop, mais tout de même plus que la moyenne masculine, munit d'une carrure plus musclé par contre.
L'intérieur de la chambre n'était guère mieux que l'extérieure. Utilitaire, était le seul mots qui la désignait.
Un lit qui en avait vu d'autres avant eux à l'édredon fatigué, deux tables de nuits en bois sombre, deux lampe de chevet du même modèle, mais d'on une seule est munie d'une ampoule, une porte, surement celle de la salle de bain, et une chaise de bois blanc écaillé. situé près de la fenêtre donnant sur l'enseigne d'un cinéma de quartier constituaient le décor.
Le client déposa son manteau sur la chaise et dit: «déshabille toi, je reviens.» Il entra dans la salle de bain.
Elle ne se pressa pas pour faire ce qui lui dicta. S'exposer au froid en quittant la mince chaleur que lui octroyait ses vêtements ne lui tentait guère.
Elle fit tout de même, sobrement, elle ne lui restait plus qu'un bas à enlever quand il sortit des toilettes, une bière déjà bien entamé à la main.
Il l'embrassa, ça gouttait l'alcool.
Il déposa sa bouteille sur le planché et la poussa, pas fort, mais tout de même fermement sur le lit.
Elle se laissa faire, quand il se coucha sur elle, s'était presque devenu une routine. Elle toute nue, lui, encore habillé.
Il la regarda profondément dans les yeux. On aurait dit qu'il cherchait quelque chose.
Il le trouva peut-être car il sourit et enleva son t-shirt. Sous le tissu, se trouvait un buste que les années avait sculpté. Une longue balafre qui semblait usée saillait de l'épaule gauche jusqu'au abdominaux. Elle ne lui en demanda pas l'origine, elle aurait peut-être dû. Il lui saisi les poignets de ses grandes mains, prit un foulard noir dans la poche arrière de son jeans et lui attacha les mains ensemble solidement.
«Je m'occupe de tout.»
Une mince lueur d'inquiétude passa dans ses yeux, mais son professionnalisme ne laissa rien paraître.
Il enleva le reste de ses vêtements avec beaucoup plus de hâte qu'elle ne l'avait fait. «Il n'a pas à craindre le froid lui.» Se surprit-elle à penser. Elle avait raison, il avait à se soucier d'autres choses plus importantes .
Une fois aussi nue qu'elle, il s'en donna à cœur joie. Mordant ici et là, juste assez pour laisser quelques marques rouge, grafignant à d'autres endroits avec ses ongles.
Laissant libre court à sa sauvagerie sexuelle sur le corps de la femme, le client poussait quelques halètements du fond de sa gorge. Dans ses actions brusques et rapides, il donna même quelques plaisirs à la femme qui était habituée à ne plus rien ressentir. Ses mouvements secs et rapides arrivèrent même à lui faire oublier le froid qui la tenaillait quelques minutes plus tôt.
Puis, son bras se tendit, quittant ses hanches il se tendit vers le tiroir de table de chevet. Tranquillement, pour ne pas alerter la femme, il déplaça la bible qui si trouvait prit un long couteau bien affilé et, en poignarda le ventre de la prostitué. Une fois d'un mouvement sec, une deuxièmes fois, puis une troisièmes, de plus en plus fort, de plus en plus vite. Il étouffa les cris de la femme avec sa main restée libre. Le corps se cambra sous les premier coups, mais devint rapidement immobile.
Après avoir jouit, il se retira, se leva tranquillement, prit la bière qui était resté au pied du lit, la termina d'une longue gorgée, essuya son couteau sur le couvre lit, le mit dans la poche de son manteau, se rhabilla et sortit. Il savait que quelques heures plus tard, la chambre serait de nouveau utilisable.
dimanche 1 août 2010
message spécial
Pour ceux qui se demanderaient pourquoi l'inclusion d'un avertissement avant l'entrée de mon blog je fais un billet spécial.
Ça fait longtemps que l'idée me titillait. L'idée que mes écrits ne soient pas accessibles à toute forme de lecteur me paraissait charmante. Le concept que j'ai dans la tête est tout de même dur à expliquer, je vous dirai donc de fouiller dans mes archives pour trouver un billet où j'écrivais que j'aimerais être catégorisé adultes comme le blog de Christian Mistral.
La deuxième raison est en raison de mes projets des futurs jours pour mon blog décrit plus bas.
Je vais toujours rester dans l'artistique, mais il se pourrait que ça l'offense tout de même certaines personnes.
La troisième raison, celle que je déteste le plus, est en acceptant de venir sur mon blog, malgré l'avertissement, et que vous lisez mes billets. Vous devez assumer d'avoir fait cette décision par vous même. Clairement? Vous, vous portez garant de vos interprétations, de vos émotions provoquées par votre lecture, de vos réactions face aux textes, etc.
Je n'ai plus rien à y voir. Ça me désole de mettre une telle barrière morale entre mes textes et les émotions, mais je n'ai plus le choix. Je dois à l'avenir protéger les gens de ce que mes écritures pourraient provoquer.
Donc. précisément, vous acceptez de rentrer désormais sur un blog. Où, mes écrits seront plus hard et dru, ce que je veux depuis le début, avec quelques forment visuels ou textuels qui pourraient choquer. Et, entrant, vous être pris personnellement avec vos impressions causées, pas question d'aller faire chier les autres. Éros et Thanatos vous connaissez?
Ça fait longtemps que l'idée me titillait. L'idée que mes écrits ne soient pas accessibles à toute forme de lecteur me paraissait charmante. Le concept que j'ai dans la tête est tout de même dur à expliquer, je vous dirai donc de fouiller dans mes archives pour trouver un billet où j'écrivais que j'aimerais être catégorisé adultes comme le blog de Christian Mistral.
La deuxième raison est en raison de mes projets des futurs jours pour mon blog décrit plus bas.
Je vais toujours rester dans l'artistique, mais il se pourrait que ça l'offense tout de même certaines personnes.
La troisième raison, celle que je déteste le plus, est en acceptant de venir sur mon blog, malgré l'avertissement, et que vous lisez mes billets. Vous devez assumer d'avoir fait cette décision par vous même. Clairement? Vous, vous portez garant de vos interprétations, de vos émotions provoquées par votre lecture, de vos réactions face aux textes, etc.
Je n'ai plus rien à y voir. Ça me désole de mettre une telle barrière morale entre mes textes et les émotions, mais je n'ai plus le choix. Je dois à l'avenir protéger les gens de ce que mes écritures pourraient provoquer.
Donc. précisément, vous acceptez de rentrer désormais sur un blog. Où, mes écrits seront plus hard et dru, ce que je veux depuis le début, avec quelques forment visuels ou textuels qui pourraient choquer. Et, entrant, vous être pris personnellement avec vos impressions causées, pas question d'aller faire chier les autres. Éros et Thanatos vous connaissez?
01, aout, 10
03:01
Vous trouvez que je parle trop de ma vie.
Allez lire ceci
Je vais surement arrêter d'écrire pour le moment.
Peut-être me créer un autre blog à adresse super secrète ou tout simplement continuer mon vieux plus assidument. Le plaisir d'écrire est compromis ici.
En attendant, je vais peut-être vous bombarder de trucs hard pour décourager les moins aguerri à mon monde étrange.
Vous trouvez que je parle trop de ma vie.
Allez lire ceci
Je vais surement arrêter d'écrire pour le moment.
Peut-être me créer un autre blog à adresse super secrète ou tout simplement continuer mon vieux plus assidument. Le plaisir d'écrire est compromis ici.
En attendant, je vais peut-être vous bombarder de trucs hard pour décourager les moins aguerri à mon monde étrange.
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