25, jan, 10

17:03
Aujourd'hui fut une belle journée. Mon cours a été intéressant même si je n'ai fait que revoir ce que je savais déjà. J'ai aussi eu le merveilleux film Orange Mécanique à analyser comme projet de fin de session. J'espère que mes coéquipiers seront me suivre. Je suis allez à la bibliothèque et que pour le plaisir j'ai regardé les livres à vendre. J'ai été surpris quand j'ai vu un Patrick Senecal, tellement, que j’ai acheté pour la modique somme de 25c Oniria. Je vais surement le bruler si je ne trouve personne qui le veut, car je ne suis pas contre sa littérature, mais contre sa personne.

Je m'explique, l'an passé j'ai rencontré personnellement l'auteur pour écrire un article sur lui. Mon nom avait été retenue, car je suis un spécialiste de la littérature pour beaucoup de professeurs et que j'avais lu beaucoup de ses ouvrages, mon ex étant adepte de ses bouquins, même si ce n’était pas pour mon cours de français qu’il venait.

Dans son roman Alyss, qui voit comme une adaptation de Alice au pays des merveilles; je n'ai jamais vu la ressemblance. Le personnage parle souvent de comprendre Ainsi parlait Zarathoustra de Nietzsche. Je luis es demandé, et je tenais beaucoup à cette question, c'était quoi pour lui comprendre cette œuvre majeure de Frédéric Nietzsche; grand philosophe du XX siècle.

Il ma répondu avec une gêne dissimulée: «Tu sais on a tous notre façon de comprendre Ainsi parlait Zarathoustra.
- Oui, mais vous comment le voyez ?
-Je ne sais pas trop personnellement je ne l'ai jamais fini.
Décevant.
Sans parler, qu'il m'a dit qu'il n'a lu que des livres d'horreur jusqu'à l'université et encore là sa littérature était obligatoire.
Cet homme est un auteur important du Québec présentement?

En plus, je dois m'acheter (je vais le louer) un de ses livres pour mon cours de français et faire un comparatif avec son film. Je vais peut-être bruler Oniria, le donner ou le garder dans ma bibliothèque comme objet de dérision littéraire.

Heureusement, j'ai presque terminé un super essai sur la sexualité écrit par Michel Onfray. J'en reparlerai.